Necrotizing enterocolitis: a continuing problem in the neonate

World J Surg. 1993 May-Jun;17(3):363-73. doi: 10.1007/BF01658705.

Abstract

Necrotizing enterocolitis (NEC) is a syndrome of diverse etiologies with a significant mortality rate affecting mostly prematurely born stressed infants. Now recognized as a discrete entity, it had been poorly defined because other conditions seem to represent the same entity. A number of risk factors have been identified that appear to "trigger" NEC, though these have been questioned because they have been present just as frequently in premature and older infants who did not develop NEC as in those that did. Recently, maternal cocaine use has been added to the suspected risk factors. A steady improvement in the survival of babies with NEC has been due largely to a high index of suspicion of the disease and early, aggressive medical management.

L'entérite nécrosante regroupe un ensemble de syndromes d'étiologies diverses comprenant des cas de pronostic favorable comme un ileus ou un syndrome appendiculaire reversibles mais aussi des cas d'infarctus massif avec perforation et péritonite, de pronostic redoutable. La pathogénèse n'est pas connue mais il semble que différents facteurs de “stress périnataux” peuvent être incriminés. Les rôles respectifs des clostridia, des staphylocoques coagulase-négatifs et des entérocoques sont importants à connaître. Le rôle des agents pharmacologiquement actifs, tel les xanthines, la vitamine E, les prostaglandines, le surfactant, les radicaux libres toxiques et la cocaïne (chez la mère) sont aussi à considérer. L'amélioration du pronostic est à rapprocher de l'augmentation de la fréquence avec laquelle le diagnostic est évoqué. La présence d'air dans les parois intestinales est un signe pathognomonique. En cas de pneumopéritoine, de signes de gangrène à la ponction lavage diagnostique, un érythème de la paroi abdominale, une masse abdominale ou la persistence d'une anse intestinale dilatée sur les clichés de l'abdomen sans préparation successifs sont autant d'indications à la chirurgie. Le chirurgien se doit d'être aussi conservateur'intervention que raisonable, l'intestin viable doit être extériorisé en stomie dans la plupart des cas. Une relaparotomie (pour voir) est souvent nécessaire. L'alimentation parentérale associée est impérative. Avec une telle attitude, la survie a augmenté de 24% en 1967 à plus de 70% en 1984. Vingt à 25% des enfants développeront des sténoses, entre 3 et 12 semaines après le début de la maladie, certaines nécessitant des résections ultérieures.

La enterocolitis necrotizante es un síndrome de etiologías diversas que se caracteriza por una significativa tasa de mortalidad. Fue descrito por primera vez como entidad definida en 1964 y la primera experiencia quirúrgica fue publicada en 1967. Por muchos años permaneció como una entidad no bien definida; su incidencia, en un estudio prospectivo fue de 2.1% de las admisiones a unidades de cuidado intensivo neonatal en 12 centros. Se presenta con un cuadro variado que va desde los casos leves que se recuperan sin secuelas, hasta la necrosis intestinal con perforación, peritonitis, sepsis y muerte. Se presenta con mayor frecuencia en los prematuros con factores de riesgo de estrés; la neumatosis intestinal es una caracterítica patológica y radiológica. Su patogénesis no ha sido establecida. En el presente artículo se revisa la microbiología, el papel de los agentes farmacológicos como factor etiológico, igual que de diversos agentes humorales, con énfasis en la isquemia, la lésion de reperfusión y los radicales tóxicos de oxígeno. Se ha informado un mayor riesgo de enterocolitis necrotizante en madres que abusan de la cocaína. Se revisa el uso de imágenes diagnósticas y plantean las indicaciones para intervención quirúrgica, así como el tipo de operación, cuyo propósito es la resección del intestino isquémico o perforado.

Publication types

  • Review

MeSH terms

  • Enterocolitis, Pseudomembranous* / chemically induced
  • Enterocolitis, Pseudomembranous* / microbiology
  • Enterocolitis, Pseudomembranous* / pathology
  • Enterocolitis, Pseudomembranous* / surgery
  • Humans
  • Infant, Newborn
  • Risk Factors