Age, Sex and Relationship Strengths: Internalizing Symptom Differences in Children and Youth Within a Clinical Sample

J Can Acad Child Adolesc Psychiatry. 2022 Nov;31(4):189-201. Epub 2022 Nov 1.

Abstract

Background: Internalizing problems such as depression, anxiety and anhedonia are particularly problematic due to their covert nature. Due to their deleterious effects on psychological well-being, social connection and education, it is important to understand the development of internalizing problems and their unique contributors.

Objectives: Examine whether internalizing symptoms vary by (i) age, and (ii) sex, and whether (iii) relationship strengths are associated with sex and internalizing symptoms.

Method: Using a polynomial model with Tweedie distribution with log link, this study examined relationships for 18,701 clinically referred children and adolescents between 4 and 18 years of age assessed using the interRAI Child and Youth Mental Health assessment.

Results: Internalizing symptoms reported by children and adolescents varied by age and sex. Sex differences in internalizing symptoms became prominent after about six years of age with female adolescents reporting higher levels when compared to male peers. An increase in relationship strengths corresponded with a decrease in internalizing symptoms for both sexes. However, the pattern depended on sex. In our sample, females required a greater number of relationship strengths to observe a decrease in internalizing symptoms.

Conclusions: The current study illustrates a difference in internalizing symptoms between females and males with respect to age and relationship strengths. The results may have implications for prevention and intervention strategies geared towards internalizing symptoms for children and adolescents.

Contexte: Les problèmes d’internalisation comme la dépression, l’anxiété et l’anhédonie sont particulièrement problématiques en raison de leur nature cachée. À cause de leurs effets délétères sur le bien-être psychologique, la connexion sociale et l’éducation, il importe de comprendre le développement des problèmes d’internalisation et de leurs contributeurs uniques.

Objectifs: Examiner si les symptômes d’internalisation varient selon (i) l’âge, et (ii) le sexe, et si (iii) les forces des relations sont associées au sexe et aux symptômes internalisants.

Méthode: À l’aide d’un modèle polynomial avec distribution Tweedie et lien de connexion, la présente étude a examiné les relations pour 18 701 enfants et adolescents référés cliniquement, âgés entre 4 et 18 ans et évalués à l’aide de l’évaluation de la santé mentale des enfants et des jeunes (interRAI).

Résultats: Les symptômes internalisants déclarés par les enfants et les adolescents variaient selon l’âge et le sexe. Les différences de sexe dans les symptômes internalisants sont devenues proéminentes après environ 6 ans d’âge, les adolescentes déclarant des niveaux plus élevés lorsque comparées à leurs pairs masculins. Une augmentation des forces des relations correspondait à une diminution des symptômes internalisants pour les deux sexes. Toutefois, le modèle dépendait du sexe. Dans notre échantillon, les filles avaient besoin d’un plus grand nombre de forces des relations pour observer une diminution des symptômes internalisants.

Conclusions: La présente étude illustre une différence des symptômes internalisants entre les filles et les garçons relativement à l’âge et aux forces des relations. Les résultats peuvent avoir des implications pour les stratégies de prévention et d’intervention axées sur les symptômes internalisants pour les enfants et les adolescents.

Keywords: adolescents; children; enfants; forces des relations; interRAI; internalizing symptoms; relationship strengths; symptômes internalisants.