Acute diarrhea in horses: A multicenter Canadian retrospective study (2015 to 2019)

Can Vet J. 2022 Oct;63(10):1033-1042.

Abstract

This study describes the clinicopathological findings, diagnostic approach, treatment, and factors associated with non-survival of diarrheic horses admitted to 4 Canadian university teaching hospitals between 2015 and 2019. A total of 300 horses, ≥1-year-old, with acute diarrhea were included and represented 1.6% (300/18 481; range: 0.7 to 3%) of admissions during that period, 70% of the horses survived to discharge. Testing for enteropathogens was limited to a single fecal culture for Salmonella spp. in most cases. An enteropathogen was identified in 14% (42/300) of the horses, but in the hospital with higher testing rates enteropathogens were detected in 29% (16/55) of cases. Neorickettsia risticii was the pathogen most frequently detected (31%, 32/102). Antimicrobial drugs and plasma were administered to 57 and 8% of the cases, respectively. Laminitis occurred in 24/298 (8%) of the horses. A multivariable regression model identified an association between non-survival of diarrheic horses and colic signs, increased heart rate, packed cell volume, creatinine concentration, and decreased total protein concentration. A standardized approach for pathogen detection in diarrheic horses is not consistent among Canadian veterinary teaching hospitals, and testing for known pathogens is limited. Signs of colic, severe dehydration, endotoxemia, and hypoproteinemia are associated with non-survival of diarrheic horses.

Diarrhée aiguë chez le cheval : une étude rétrospective canadienne multicentrique (2015 à 2019). Cette étude décrit les résultats clinicopathologiques, l’approche diagnostique, le traitement et les facteurs associés à la non-survie de chevaux diarrhéiques admis dans quatre hôpitaux universitaires canadiens entre 2015 et 2019. Un total de 300 chevaux, ≥1 an, atteints de diarrhée aiguë ont été inclus et représentaient 1,6 % (300/18 481; intervalle : 0,7 à 3 %) des admissions au cours de cette période. Soixante-dix pourcents des chevaux ont survécu jusqu’à leur congé. La recherche d’agents entéropathogènes était limitée à une seule culture fécale pour Salmonella spp. dans la plupart des cas. Un agent entéropathogène a été identifié chez 14 % (42/300) des chevaux, mais à l’hôpital avec des taux de dépistage plus élevés, des agents entéropathogènes ont été détectés dans 29 % (16/55) des cas. Neorickettsia risticii était l’agent pathogène le plus fréquemment détecté (31 %, 32/102). Des médicaments antimicrobiens et du plasma ont été administrés respectivement à 57 et 8 % des cas. Une fourbure est survenue chez 24/298 (8 %) des chevaux. Un modèle de régression multivarié a identifié une association entre la non-survie des chevaux diarrhéiques et les signes de coliques, l’augmentation de la fréquence cardiaque, l’hématocrite, la concentration de créatinine et la diminution de la concentration totale de protéines. Une approche normalisée pour la détection des agents pathogènes chez les chevaux diarrhéiques n’est pas uniforme dans les hôpitaux d’enseignement vétérinaires canadiens, et les tests pour les agents pathogènes connus sont limités. Des signes de coliques, de déshydratation sévère, d’endotoxémie et d’hypoprotéinémie sont associés à la non-survie des chevaux diarrhéiques.(Traduit par Dr Serge Messier).

Publication types

  • Multicenter Study

MeSH terms

  • Animals
  • Anti-Infective Agents*
  • Canada / epidemiology
  • Colic* / veterinary
  • Creatinine
  • Diarrhea / epidemiology
  • Diarrhea / veterinary
  • Horse Diseases* / microbiology
  • Horses
  • Retrospective Studies

Substances

  • Anti-Infective Agents
  • Creatinine