[Eco-tourism: what recommendations?]

Rev Med Suisse. 2022 May 4;18(780):886-889. doi: 10.53738/REVMED.2022.18.780.886.
[Article in French]

Abstract

Which recommendations family doctors and travel health practitioners can provide to their patients, to reduce their environmental footprint when travelling? Avoiding flying is the biggest action a traveler can take to reduce their greenhouse gas emissions. Staying at eco-lodges, or carbon offsetting, may help, but one must be aware of false or exaggerated claims on their impact. Using UV light, filters, halogens or boiling water, are effective ways to disinfect water and reduce the waste created from plastic water bottles. Given the large carbon footprint of medications and laboratory exams, limiting prescription of antibiotics or antimalarials in pre-travel consultations, or limiting unnecessary laboratory exams in returning travelers by following the latest recommendations, could reduce greenhouse emissions of the medical practice.

Quelles recommandations les généralistes et médecins du voyage peuvent-ils fournir à leur patientèle pour réduire les impacts environnementaux de leurs voyages ? Éviter les trajets en avion est l’action la plus efficace pour réduire ses émissions de gaz à effet de serre. Séjourner dans des éco-lodges ou la compensation carbone financière peuvent être positifs mais leur bénéfice est souvent surestimé. Filtres, UV, halogènes ou cuisson permettent la désinfection efficace de l’eau et la réduction des déchets dus aux bouteilles en plastique. Au vu de l’empreinte carbone des traitements et examens de laboratoire, limiter la prescription d’antibiotiques et d’antimalariques en consultation prévoyage ainsi que les examens inutiles au retour selon les recommandations actuelles réduisent aussi les impacts de la pratique médicale.

MeSH terms

  • Antimalarials*
  • Carbon Footprint
  • Humans
  • Referral and Consultation
  • Tourism*
  • Travel

Substances

  • Antimalarials