Crash testing the dummy: a review of in situ trauma simulation at a Canadian tertiary centre

Can J Surg. 2019 Aug 1;62(4):243-248. doi: 10.1503/cjs.008918.

Abstract

Background: In situ trauma simulations allow for the trauma team and emergency department to practise team dynamics, resuscitation and logistics in a safe environment. The goal of this investigation was to show the feasibility of an in situ trauma simulation program at a Canadian level 1 trauma centre.

Methods: We performed a retrospective review of in situ simulations (maximum 20 min, followed by a 10-min debriefing session) at a level 1 trauma centre from 2015 to 2017. Errors were categorized according to the National Patient Safety Agency risk assessment matrix by 3 independent raters and assigned consequence scores (assessing potential harm) and likelihood scores (assessing the likelihood of potential harm). A risk score was calculated as the product of the mean consequence and likelihood scores. Errors per simulation and the number of simulations required for error resolution were recorded.

Results: We reviewed 8 in situ simulations and identified 54 errors, of which 7 were related to medications, 20 to equipment, 21 to environment/staffing and 6 to training. The mean consequence score was 2.85/5 (standard deviation [SD] 0.75, intraclass correlation coefficient [ICC] 28%), indicating minor to moderate harm. The mean likelihood score was 2.82/5 (SD 0.55, ICC 41%), indicating unlikely to possible. The mean risk score was 8.42/25 (SD 3.19, ICC 43%). One error (2%) was low risk, 23 (43%) were moderate risk, 26 (48%) were high risk, and 4 (7%) were extreme risk.

Conclusion: In situ trauma simulations are feasible in a Canadian centre and provide a safe environment to identify and rectify errors.

Contexte: Les simulations de catastrophes in situ permettent à l’équipe de traumatologie et au service d’urgence de tester la dynamique d’équipe, les techniques de réanimation et la logistique dans un environnement sécuritaire. L’objectif de cette étude était de montrer la faisabilité d’un programme de simulation in situ dans un centre canadien de traumatologie de niveau 1.

Méthodes: Nous avons effectué une revue rétrospective des simulations in situ (maximum 20 min, suivies de séances de compte rendu) ayant eu lieu dans un centre de traumatologie de niveau 1 entre 2015 et 2017. Les erreurs ont été classées en catégories selon la grille d’évaluation des risques de la National Patient Safety Agency par 3 examinateurs indépendants, qui leur ont assigné des scores de conséquence (préjudices potentiels) et des scores de probabilité (probabilité de préjudices potentiels). Un score de risque a été calculé sous forme de produit des scores moyens de conséquence et de probabilité. Le nombre d’erreurs par simulation et le nombre des simulations requises pour les résoudre ont été enregistrés.

Résultats: Nous avons analysé 8 simulations in situ et relevé 54 erreurs, dont 7 concernaient les médicaments, 20, l’équipement, 21, l’environnement ou la dotation en personnel et 6, la formation. Le score de conséquence moyen était de 2,85/5 (écarttype 0,75; coefficient de corrélation intraclasse [CCI] 28 %), indiquant des préjudices de mineurs à modérés. Le score de probabilité moyen était de 2,82/5 (écart-type 0,55; CCI 41 %), soit d’improbable à possible. Le score de risque moyen était donc de 8,42/25 (écart-type 3,19; CCI 43 %). Une seule erreur (2 %) comportait un risque faible, 23 (43 %) comportaient un risque modéré, 26 (48 %), un risque élevé et 4 (7 %), un risque extrême.

Conclusion: Les simulations de catastrophes in situ sont faisables dans un centre canadien et permettent d’identifier les erreurs et les rectifier dans un environnement sécuritaire.

MeSH terms

  • Humans
  • Inservice Training / methods
  • Medical Errors / statistics & numerical data*
  • Nova Scotia
  • Retrospective Studies
  • Simulation Training*
  • Trauma Centers
  • Traumatology / education*