Selecting the best and brightest: A comparison of residency match processes in the United States and Canada

Plast Surg (Oakv). 2015 Winter;23(4):225-30. doi: 10.4172/plastic-surgery.1000943.

Abstract

Background: Selecting candidates for plastic surgery residency training remains a challenge. In the United States, academic measures (United States Medical Licensing Exam Step I scores, medical school class rank and publications) are used as primary criteria for candidate selection for residency. In contrast, Canadian medical education de-emphasizes academic measures by using a pass-fail grading system. As a result, choosing residents from many qualified applicants may pose a challenge for Canadian programs without objective measures of academic success.

Methods: A 25-question online survey was distributed to program directors of Canadian plastic surgery residency-training programs. Program directors commented on number of yearly residents and applicants; application sections (ranked in importance using a Likert scale); interview invitation and rank-order list determination; and their satisfaction with the selection process.

Results: Ten Canadian plastic surgery program directors responded (90.9% response rate). The most important application components determining invitation to interview were letters of reference from a plastic surgeon (mean importance of 5.0 on the Likert scale), clinical electives in plastic surgery (mean 4.6) and electives with their program (mean 4.5). Applicants invited for interview were assessed on the quality of their responses to questions, maturity and personality. The majority of program directors agreed that a clinical elective with their program was important for consideration on their rank-order list. Program directors were neutral on their satisfaction with the selection process.

Conclusion: Canadian plastic surgery residency programs emphasize clinical electives with their program and letters of reference from colleagues when selecting applicants for interviews. In contrast to their American counterparts, Canadian program directors rely on clinical interactions with prospective residents in the absence of objective academic measures.

Historique: Il est difficile de sélectionner les candidats à la résidence en chirurgie plastique. Aux États-Unis, des mesures de réussite (notes à l’étape I de l’examen de médecine des États-Unis, rang dans la classe de la faculté de médecine et publications) sont les principaux critères de sélection des candidats à la résidence. En revanche, au Canada, les mesures de réussite de la formation en médecine sont atténuées par un système de classement réussite-échec. Il peut donc être difficile de sélectionner les résidents au sein des programmes canadiens ne disposant pas de mesures objectives de réussite.

Méthodologie: Les directeurs des programmes canadiens de résidence en chirurgie plastique ont reçu un sondage virtuel de 25 questions. Ils ont commenté le nombre de résidents et de candidats chaque année, les sections des candidatures (classées par ordre d’importance selon une échelle de Likert), les invitations aux entrevues, la détermination de la liste de classement et leur satisfaction à l’égard du processus de sélection.

Résultats: Dix directeurs de programmes canadiens de chirurgie plastique ont répondu au sondage (taux de réponse de 90,9 %). Les principaux volets des candidatures pour déterminer les invitations aux entrevues étaient une lettre de référence d’un plasticien (importance moyenne de 5,0 sur l’échelle de Likert), des stages cliniques facultatifs en chirurgie plastique (moyenne de 4,6) et des stages facultatifs au sein de leur programme (moyenne de 4,5). Les candidats convoqués en entrevue étaient évalués selon la qualité de leurs réponses aux questions, leur maturité et leur personnalité. La majorité des directeurs de programmes convenaient que, pour leur liste de classement, il était important d’avoir participé à un stage clinique au sein de leur programme. Le taux de satisfaction des directeurs de programmes envers le processus de sélection était neutre.

Conclusion: Pour sélectionner les candidats aux entrevues, les programmes canadiens de résidence en chirurgie plastique accordent plus d’importance aux stages cliniques dans leur programme et aux lettres de référence de collègues. Contrairement à leurs homologues américains, en l’absence de mesures scolaires objectives, les directeurs de programmes canadiens se fient aux interactions cliniques avec les résidents prospectifs.

Keywords: Medical education; Plastic surgery; Residency; Selection.