Collaboration between family physicians and nurse clinicians: opinions of graduates in family medicine

Can Fam Physician. 2014 Aug;60(8):e416-22.

Abstract

Objective: To determine whether graduating family physicians are exposed to collaboration between family physicians and nurse clinicians during their training, as well as their opinions about shared care between doctors and nurse clinicians in the delivery of patient care.

Design: Anonymous online survey.

Setting: Two French-Canadian university family medicine residency programs.

Participants: The 2010 and 2011 graduating family physicians (N = 343) from the University of Montreal and Laval University in Quebec.

Main outcome measures: The extent to which nurse clinicians in graduating family physicians' training milieu were involved in preventive and curative patient care activities, and graduates' opinions about nurse clinicians sharing care with physicians.

Results: Of 343 graduates, 186 (54.2%) participated in the survey. Although as residents in family medicine their exposure to shared care with nurse clinicians was somewhat limited, respondents indicated that they were generally quite open to the idea of sharing care with nurse clinicians. More than 70% of respondents agreed or strongly agreed that nurse clinicians could adjust, according to protocols of clinical guidelines, the treatment of patients with diabetes, hypertension, and asthma, as well as regulate medication for pain control in terminally ill patients. By contrast, respondents were less favourable to nurse clinicians adjusting the treatment of patients with depression. More than 80% of respondents agreed or strongly agreed that nurse clinicians could initiate treatment via a medical directive for routine hormonal contraception, acne, uncomplicated cystitis, and sexually transmitted infections. Respondents' opinions on nurse clinicians initiating treatment for pharyngitis and otitis were more divided.

Conclusion: Graduating family physicians are quite open to collaborating with nurse clinicians. Although they have observed some collaboration between physicians and nurses, there are areas of shared clinical activities in which they would benefit from further exposure and training.

Objectif: Déterminer ce que les nouveaux diplômés en médecine familiale ont observé de la collaboration entre médecins de famille et infirmières cliniciennes durant leur formation et vérifier ce qu’ils pensent du partage des soins entre médecins et infirmières cliniciennes.

Type d’étude: Enquête anonyme par internet.

Contexte: Les programmes de médecine familiale de 2 universités francophones du Canada.

Participants: Les diplômés en médecine familiale de 2010 et 2011 (N = 343) de l’université de Montréal et de l’université Laval au Québec.

Principaux paramètres à l’étude: La mesure dans laquelle les infirmières cliniciennes ont participé à des activités de type préventif et curatif auprès des patients dans le milieu où les nouveaux diplômés en médecine familiale ont été formés, et l’opinion de ces diplômés sur le partage des soins entre médecins et infirmières cliniciennes.

Résultats: Sur les 343 diplômés, 186 (54,2 %) ont participé à l’enquête. Même si les résidents en médecine familiale ont eu peu d’occasions de partager les soins avec les infirmières cliniciennes durant leur formation, ils se sont dits généralement plutôt favorables à cette façon de pratiquer. Plus de 70 % d’entre eux étaient d’accord ou fortement d’accord avec l’idée que les infirmières cliniciennes puissent ajuster, conformément aux directives de pratique, les traitements de patients diabétiques, hypertendus et asthmatiques, et qu’elles puissent aussi ajuster la médication antidouleur chez les patients en phase terminale. Par contre, ils étaient moins favorables à ce qu’elles ajustent le traitement des patients déprimés. Plus de 80 % des répondants étaient d’accord ou fortement d’accord avec l’idée que les infirmières cliniciennes pourraient, sous directive médicale, initier une contraception hormonale de routine, ou un traitement pour l’acné, une cystite non compliquée ou une infection à transmission sexuelle. Par ailleurs, ils avaient des opinions partagées quant à permettre à ces infirmières d’instaurer un traitement pour une pharyngite ou une otite.

Conclusion: Les nouveaux médecins de famille sont plutôt favorables à une certaine collaboration médecin-infirmières cliniciennes. Même s’ils ont été témoins d’une certaine collaboration médecins-infirmières, il existe des domaines d’activité clinique partagée pour lesquels ils auraient avantage à être plus exposés et mieux formés.

Publication types

  • Research Support, Non-U.S. Gov't

MeSH terms

  • Attitude of Health Personnel*
  • Cooperative Behavior*
  • Family Practice / education
  • Family Practice / methods*
  • Female
  • Humans
  • Internship and Residency
  • Male
  • Nurse Clinicians*
  • Physicians, Family*
  • Quebec
  • Surveys and Questionnaires