Patterns of referral and knowledge of palliative radiotherapy in Alberta

Can Fam Physician. 2012 Feb;58(2):e113-22.

Abstract

Objective: To assess practitioners' referral patterns and knowledge of palliative radiotherapy (PRT).

Design: A 23-item questionnaire.

Setting: Northern Alberta and parts of British Columbia, Saskatchewan, the Northwest Territories, and Nunavut.

Participants: A total of 1360 health practitioners, including primary care physicians and nurse clinicians in rural, remote, or far northern regions; FP-oncologists working in community cancer centres; palliative care (PC)specialists; and medical oncologists.

Main outcome measures: Survey respondents rated how much certain factors influenced their decisions to refer patients for PRT and estimated their knowledge of PRT. Descriptive and summary statistics were compiled.

Results: The overall eligible response rate was 31.8% (412 of 1294); 85.4% of respondents were FPs, 65.3% were men, and 44.9% practised in rural settings. A total of 81.8% of respondents sometimes or often provided PC and 71.0% had referred patients for PRT. Main factors taken into account when referring patients were functional status (93.1%; 349 of 375), histology (75.4%; 285 of 378), and concern about side effects (75.3%; 281 of 373).Half of respondents considered wait times for PRT delivery important. Self-rated knowledge of PRT was poor for 74.0% of respondents, fair for 24.5%, and good for 1.5%. Actual knowledge scores were poor for 46.6% of respondents, fair for 36.7%, and good for 16.7%. Respondents who referred patients for PRT had been in practice longer, saw more cancer patients per month, provided PC more frequently, had higher self-rated PRT knowledge,and had better actual PRT knowledge.

Conclusion: Disease- and patient-related factors outweighed concerns about wait times. Although referring practitioners are better informed than they believe themselves to be, further improvements in their knowledge could increase referrals of appropriate patients for PRT.

Objectif: Déterminer comment les médecins dirigent les patients en radiothérapie palliative (RTP) et ce qu’ils connaissent de ce traitement.

Type d’étude: Un questionnaire de 23 items.

Contexte: Le nord de l’Alberta et certaines parties de la Colombie-Britannique, de la Saskatchewan, des Territoires du Nord-Ouest et du Nunavut.

Participants: Un total de 1360 membres du personnel de la santé, incluant des médecins de première ligne et des infirmières praticiennes oeuvrant dans des régions rurales et des régions éloignées ou du Grand-Nord; des MF-oncologistes travaillant dans des centres de cancer communautaires; des spécialistes des soins palliatifs (SP); et des oncologistes médicaux.

Principaux paramètres à l’étude: Les répondants à l’enquête ont comparé l’importance de certains facteurs qui influençaient leur décision d’orienter des patients en RTP et estimé leur connaissance de la RTP. On a calculé les statistiques descriptives et sommaires.

Résultats: Le taux global de réponses admissibles était de 31,8 % (412 sur 1294); 85,4 % des répondants étaient des médecins de famille, 65,3 % étaient des hommes et 44,9 % pratiquaient en région rurale. Au total, 81,8 % des répondants prodiguaient occasionnellement ou fréquemment des SP et 71,0 % avaient orienté des patients en RTP. Les principaux facteurs considérés au moment de diriger les patients étaient l’état fonctionnel (93,1 %; 349 sur 375), les do^nnées histologiques (75,4 %; 285 sur 378) et la crainte d’effets indésirables (75,3 %; 281 sur 373). La moitié des répondants considéraient que le temps d’attente pour la RTP était aussi un facteur important. À l’auto-évaluation, 74,0 % des répondants jugeaient que leur connaissance de la RTP était mauvaise, 24,5 % la jugeaient passable et 1,5 % la jugeaient bonne. En réalité, les scores obtenus pour la connaissance étaient mauvais pour 46,6 % des répondants, passables pour 36,7 % et bons pour 16,7 %. Les répondants qui dirigeaient des patients en RTP avaient plus d’années de pratique, voyaient plus de cancéreux par mois, prodiguaient plus souvent des SP, avaient une meilleure évaluation de leur connaissance de la RTP et avaient une meilleure connaissance réelle de la RTP.

Conclusion: Les facteurs liés au patient et à la maladie étaient plus importants que le temps d’attente. Même si les médecins sont mieux informés qu’ils ne le pensent, une amélioration de leurs connaissances pourrait augmenter le nombre de patients dirigés en RTP de façon appropriée.

MeSH terms

  • Alberta
  • Canada
  • Clinical Competence / statistics & numerical data*
  • Female
  • Health Knowledge, Attitudes, Practice
  • Humans
  • Linear Models
  • Logistic Models
  • Male
  • Neoplasms / radiotherapy*
  • Palliative Care / statistics & numerical data*
  • Practice Patterns, Nurses' / statistics & numerical data*
  • Practice Patterns, Physicians' / statistics & numerical data*
  • Referral and Consultation / statistics & numerical data*
  • Surveys and Questionnaires