Minimally invasive surgical practice: a survey of general surgeons in Ontario

Can J Surg. 2004 Feb;47(1):15-9.

Abstract

Introduction: With the rapidly evolving techniques for minimally invasive surgery (MIS), general surgeons are challenged to incorporate advanced procedures into their practices. We therefore carried out a study to assess the state of MIS practice in Ontario.

Methods: A questionnaire was mailed to 390 general surgeons in Ontario. It addressed the surgeon's practice demographics, performance of both basic and advanced MIS procedures, the factors influencing this practice and the means of obtaining MIS training.

Results: Of the 390 general surgeons surveyed, 309 (79%) responded. Thirty-six of these were retired and were excluded from the analysis, leaving 273 available for study. The average age in the study group was 49.7 years; 247 (90%) were men. Of 272 who responded to the question, 116 (43%) had subspecialty training. The average surgeon's operating room (OR) time was 1.5 d/wk and the average waiting time for elective procedures was 4 weeks. We found that 257 (94%) respondents performed basic laparoscopic procedures, and 164 (60%) performed appendectomy; 135 (49%) performed at least 1 advanced laparoscopic procedure in their practice, although only 30 (22%) of these performed inguinal hernia repair. Using a Likert scale, we found that the most important factors influencing the incorporation of advanced laparoscopic procedures into surgical practice were a lack of OR time (median 4), lack of OR financial resources (median 4) and lack of training opportunities (median 4). Of surgeons responding to questions, 161 (64%) of 251 felt that the present medical environment did not allow them to meet standard-of-care requirements; they felt that it was the responsibility of academic surgical departments (214 [80%] of 268), the Canadian Association of General Surgeons (177 [68%] of 262) and the Ontario Association of General Surgeons (141 [53%] of 264) to provide continuing medical education courses for MIS training.

Conclusion: The ability of practising general surgeons to incorporate advanced MIS procedures into their surgical practice remains a complex issue.

Introduction: Avec l'évolution rapide des techniques de chirurgie à effraction minimale (CEM), les chirurgiens généraux doivent relever le défi consistant à intégrer à leur pratique des interventions de pointe. Nous avons donc réalisé une étude pour évaluer l'état de la pratique de CEM en Ontario.

Méthodes: Nous avons envoyé un questionnaire à 390 chirurgiens généraux de l'Ontario. Les questions portaient sur les caractéristiques démographiques de la pratique du chirurgien, la réalisation d'interventions de base et avancées en CEM, les facteurs qui influent sur cette pratique et les moyens d'obtenir une formation en CEM.

Résultats: Des 390 chirurgiens généraux sondés, 309 (79 %) ont répondu. Trente-six d'entre eux étaient à la retraite et ont été exclus de l'analyse, ce qui a laissé 273 chirurgiens disponibles pour l'étude. Les sujets du groupe d'étude avaient en moyenne 49,7 ans et le groupe comptait 247 hommes (90 %). Des 272 qui ont répondu à la question, 116 (43 %) possédaient une formation de sous-spécialité. Les chirurgiens passaient en moyenne 1,5 j/sem à la salle d'opération et la durée moyenne des périodes d'attente pour les interventions électives s'établissait à quatre semaines. Nous avons constaté que 257 (94 %) répondants procédaient à des laparoscopies de base et 164 (60 %) à des appendicectomies; 135 (49 %) pratiquaient au moins une laparoscopie avancée, même si 30 (22 %) seulement de ceux-ci réparaient des hernies inguinales. En utilisant l'échelle de Likert, nous avons constaté que les facteurs les plus importants qui jouent sur l'intégration des techniques laparoscopiques avancées dans la pratique de la chirurgie était le manque de temps en salle d'opération (médiane de 4), le manque de ressources financières en salle d'opération (médiane de 4) et le manque de possibilités de formation (médiane de 4). Parmi les chirurgiens qui ont répondu aux questions, 161 (64 %) sur 251 étaient d'avis que le contexte médical actuel ne leur permet pas de satisfaire aux exigences relatives à la norme de soin et qu'il incombe aux départements universitaires de chirurgie (214 [80 %] sur 268), à l'Association canadienne des chirurgiens généraux (177 [68 %] sur 262) et à l'Association des chirurgiens généraux de l'Ontario (141 [53 %] sur 264) d'offrir des cours d'éducation médicale continue en CEM.

Conclusion: La capacité des chirurgiens généraux actifs d'intégrer les interventions avancées en CEM à leur pratique de la chirurgie demeure un enjeu complexe.

Publication types

  • Comparative Study

MeSH terms

  • Adult
  • Attitude of Health Personnel
  • Clinical Competence
  • Education, Medical, Continuing
  • Female
  • Health Care Surveys
  • Humans
  • Laparoscopy / methods
  • Laparoscopy / statistics & numerical data*
  • Male
  • Middle Aged
  • Minimally Invasive Surgical Procedures / education
  • Minimally Invasive Surgical Procedures / methods
  • Minimally Invasive Surgical Procedures / statistics & numerical data*
  • Ontario
  • Outcome Assessment, Health Care*
  • Practice Patterns, Physicians'
  • Surgical Procedures, Operative / education
  • Surgical Procedures, Operative / standards
  • Surgical Procedures, Operative / trends
  • Surveys and Questionnaires
  • Time and Motion Studies
  • Treatment Outcome
  • Waiting Lists