Impact and Implementation of Plastic Surgery Interest Groups: National Survey of Plastic Surgery Interest Group Leadership

Plast Surg (Oakv). 2024 May;32(2):329-338. doi: 10.1177/22925503221101955. Epub 2022 Jul 1.

Abstract

Background: Plastic surgery interest groups (PSIGs) provide an invaluable opportunity to enhance medical students' exposure to and knowledge of plastic surgery. Despite this, there have been no studies that provide information on the formation of these groups as well as the aspects that make for a productive PSIG. Methods: An anonymous survey was distributed by email via RedCAP to US medical students who hold leadership positions within their medical school's PSIG. Participants were asked baseline medical school information, the structure of their interest group, and perspectives on the most impactful and challenging components of their interest group. Results: Sixteen members (27.6%) of PSIG leadership completed the survey. Eighty percent reported having a membership of greater than 20 students. Fifty percent of the PSIGs were led by advisors who were medical school or hospital-affiliated faculty. Sixty-nine percent of groups were allocated a predetermined amount of money to fund activities and events throughout the academic year. Based on member feedback, groups reported that interactions with plastic surgery faculty, mentorship opportunities, and research opportunities were the most impactful and beneficial components of their PSIG. Forty-four percent reported that the biggest challenge faced by their PSIG was having a small active member group, followed by a lack of funding. Conclusion: Our study provides an in-depth look at the current structure and impact of PSIGs in the United States. It also provides a framework for medical schools that wish to start a PSIG and suggestions for established groups who wish to revitalize their PSIG structure.

Contexte: Les groupes d’intérêt en chirurgie plastique (GICP) offrent la possibilité inestimable d’améliorer l’exposition et les connaissances des étudiants envers la chirurgie plastique. Malgré cela, il n’y a pas eu d’études apportant d’information sur la formation de ces groupes ainsi que sur les éléments qui font qu’un GICP soit productif. Methodes: Une enquête anonyme a été distribuée par courriel via RedCAP aux étudiants en médecine des États-Unis qui ont un rôle de leadership au sein du GICP de leur école de médecine. Les questions posées aux participants incluaient des demandes d’information basique sur l’école de médecine, la structure de leur groupe d’intérêt et des points de vue sur les éléments de leur groupe d’intérêt les plus stimulants et ceux ayant le plus d’impact. Résultats: Seize membres (27.6%) du leadership de GICP ont répondu à l’enquête. Quatre-vingts pour cent ont déclaré avoir plus de 20 étudiants adhérents. Cinquante pour cent des GICP étaient menés par des conseillers qui étaient des enseignants de l’école de médecine ou affiliés à un hôpital. Soixante-neuf pour cent des groupes recevaient des sommes prédéterminées pour financer leurs activités et événements tout au long de l’année universitaire. En fonction du retour d’informations des membres, les groupes ont déclaré que les interactions avec les enseignants en chirurgie plastique, des occasions de mentorat et des possibilités de recherchez étaient les éléments les plus bénéfiques et ayant le plus d’impact de leur CGIP. Quarante-quatre pour cent que le plus grand défi de leur CGIP était d’abord d’avoir un petit groupe de membres actifs, et ensuite de manquer de financement. Conclusion: Notre étude procure un regard approfondi sur la structure actuelle et l’impact des CGIP aux États-Unis. Elle fournit aussi un cadre pour les facultés de médecine qui souhaitent lancer un CGIP et des suggestions pour les groupes établis qui souhaitent revitaliser la structure de leur CGIP.

Keywords: Education; interest group; plastic surgery.