The adverse consequences of not using sunscreens

Int J Cosmet Sci. 2023 Oct:45 Suppl 1:11-19. doi: 10.1111/ics.12897.

Abstract

The adverse effects of solar ultraviolet radiation (UVR) on normal skin are well established, especially in those with poorly melanized skin. Clinically, these effects may be classified as acute, such as erythema or chronic such as keratinocyte and melanocyte skin cancers. Apart from skin type genetics, clinical responses to solar UVR are dependent on geophysical (e.g., solar intensity) and behavioural factors. The latter are especially important because they may result in 'solar overload' with unwanted clinical consequences and ever greater burdens to healthcare systems. Correctly used, sunscreens can mitigate the acute and chronic effects of solar UVR exposure. Laboratory studies also show that sunscreens can inhibit the initial molecular and cellular events that are responsible for clinical outcomes. Despite public health campaigns, global trends continue to show increasing incidence of all types of skin cancer. Large-scale epidemiological studies have shown the benefits of sunscreen use in preventing skin cancer, though it is likely that sunscreen use has not been optimal in such studies. It is evident that without substantial changes in sun-seeking behaviour, sunscreen use is a very important part of the defence against the acute and chronic effects of solar exposure. Ideally, sunscreens should be able to provide the level of protection that reduces the risk of skin cancer in susceptible skin types to that observed in heavily melanized skin.

Les effets indésirables des rayons ultraviolets (UVR) du soleil sur une peau saine sont bien établis, en particulier chez les personnes dont la peau est faiblement concentrée en mélanine. Sur le plan clinique, ces effets peuvent être classés comme aigus, comme un érythème, ou chroniques, comme des cancers de la peau kératinocytaires et mélanocytaires. Outre la génétique du type de peau, les réponses cliniques aux UVR du soleil dépendent de facteurs géophysiques (par exemple, intensité du soleil) et comportementaux. Ces réponses sont particulièrement importantes, car elles peuvent entraîner un « trop-plein de soleil » avec des conséquences cliniques indésirables et des charges de plus en plus importantes pour les systèmes de santé. Utilisés correctement, les protections solaires peuvent atténuer les effets aigus et chroniques de l'exposition aux UV du soleil. Des études en laboratoire montrent également que les protections solaires peuvent inhiber les événements moléculaires et cellulaires initiaux, qui sont responsables des effets cliniques. Malgré les campagnes de santé publique, les tendances mondiales continuent de montrer une incidence croissante de tous les types de cancer de la peau. Des études épidémiologiques à grande échelle ont montré les bénéfices de l'utilisation d'une protection solaire dans la prévention du cancer de la peau, même s'il est probable que l'utilisation d'une protection solaire n'a pas été optimale dans ces études. Il est évident que, sans changements substantiels du comportement d'exposition au soleil, l'utilisation d'une protection solaire est un aspect très important de la défense contre les effets aigus et chroniques de l'exposition au soleil. Idéalement, les protections solaires devraient pouvoir offrir aux types de peau sensibles le niveau de protection qui réduit le risque de cancer de la peau observé pour les peaux fortement concentrées en mélanine.

Keywords: SPF; skin cancer; sunburn; sunlight; sunscreen; vitamin D synthesis.

Publication types

  • Review

MeSH terms

  • Humans
  • Skin
  • Skin Neoplasms* / epidemiology
  • Skin Neoplasms* / etiology
  • Skin Neoplasms* / prevention & control
  • Sunlight / adverse effects
  • Sunscreening Agents* / pharmacology
  • Sunscreening Agents* / therapeutic use
  • Ultraviolet Rays / adverse effects

Substances

  • Sunscreening Agents