Validation of the Use of Discharge Diagnostic Codes for the Verification of Secondary Atrial Fibrillation in Administrative Databases

CJC Open. 2023 May 18;5(8):597-602. doi: 10.1016/j.cjco.2023.05.007. eCollection 2023 Aug.

Abstract

Background: "Secondary" atrial fibrillation (AF) denotes AF that is precipitated by short-term triggers and that may be reversible. Using administrative data to study secondary AF is of interest, but the ability of these data to verify secondary AF has not been studied.

Methods: We conducted a cross-sectional analysis of 1000 randomly selected hospitalizations of patients discharged alive between January 1, 2016 and March 31, 2020, with AF coded as the most responsible diagnosis (type 1), post-admit comorbidity (type 2), or secondary diagnosis (type 3). We compared diagnosis types to AF category (secondary or not) as determined by a physician blinded to the discharge diagnosis type. We calculated the positive predictive value (PPV) of the designation of secondary AF in comparison to physician determination.

Results: A total of 421 hospitalizations had AF documented as a type 2 diagnosis; this had a PPV of 94.8% for physician determination of secondary AF. After excluding hospitalizations with preexisting AF, and those for which AF type could not be determined by the physician, the PPV of a type 2 diagnosis (n = 391) for secondary AF was 99.7%. Type 3 diagnoses of AF (n = 222) mostly captured hospitalizations with preexisting AF (87.8% of type 3 diagnoses).

Conclusions: A type 2 diagnosis can be used to verify secondary AF in people who were first diagnosed with AF while hospitalized for other causes. This verification facilitates cohort studies and clinical trial recruitment of people with this AF subtype, although it should not be used to determine the prevalence or incidence of secondary AF.

Contexte: Une fibrillation auriculaire (FA) « secondaire » signifie que la FA est précipitée par des déclencheurs apparus depuis peu et pouvant être réversibles. L’utilisation de données administratives en vue d’étudier la FA secondaire peut être pertinente, mais la possibilité que ces données permettent d’évaluer les FA secondaires n’a pas été étudiée.

Méthodologie: Nous avons effectué une analyse transversale de 1 000 hospitalisations, sélectionnées au hasard, de patients ayant reçu leur congé alors qu’ils étaient en vie entre le 1er janvier 2016 et le 31 mars 2020, et dans le dossier desquels la FA était codée comme étant le diagnostic principal de l’hospitalisation (type 1), une affection concomitante diagnostiquée après l’admission à l’hôpital (type 2) ou un diagnostic secondaire (type 3). Nous avons comparé les types des diagnostics à la catégorie de FA (secondaire ou pas), déterminée par un médecin qui ignorait le type de diagnostic confirmé au moment du congé. Nous avons calculé la valeur prédictive positive (VPP) de la désignation de FA secondaire, comparativement à ce que le médecin a déterminé.

Résultats: Au total, 421 hospitalisations étaient associées à un diagnostic confirmé de FA de type 2, ce qui a produit une VPP de 94,8 % pour ce que le médecin avait déterminé comme étant une FA se-condaire. Après l’exclusion des hospitalisations de patients qui présentaient une FA préexistante et de ceux pour qui le type de FA ne pouvait pas être déterminé par le médecin, la VPP d’un diagnostic de FA de type 2 (n = 391) pour une FA secondaire était de 99,7 %. Les diagnostics de FA de type 3 (n = 222) étaient principalement associés à des hospitalisations de patients présentant une FA préexistante (87,8 % des diagnostics de type 3).

Conclusions: Un diagnostic de FA de type 2 peut servir à vérifier la présence d’une FA secondaire chez les personnes ayant reçu un premier diagnostic de FA alors qu’elles étaient hospitalisées pour d’autres causes. Cette vérification facilite les études de cohortes et le recrutement pour des essais cliniques de personnes atteintes de ce sous-type de FA, mais elle ne doit pas servir à déterminer la prévalence ou l’incidence de la FA secondaire.