Designing an App for Immunosuppression Adherence and Communication: A Qualitative Approach

Can J Kidney Health Dis. 2022 Jan 31:9:20543581211072330. doi: 10.1177/20543581211072330. eCollection 2022.

Abstract

Background: Immunosuppression nonadherence may be the most important factor limiting long-term allograft survival.

Objective: Following user-centered design, we explored the essential priorities and preferences of kidney transplant recipients and healthcare providers (HCP) to inform development of a smartphone app to improve immunosuppression adherence and communication.

Design: A qualitative descriptive research design was used.

Setting: The University of Alberta Hospital adult kidney transplant program in Edmonton, Canada.

Participants: Participants were recruited by convenience sampling and included 32 kidney transplant recipients and 11 HCPs.

Methods: Seven focus groups (5 with recipients and 2 with HCPs) were conducted to inform app development. Sessions were recorded, and transcripts were coded to elucidate themes.

Results: App development to improve adherence was not a priority for HCP. Recipients prioritized choice: that all features be optional. Recipients preferred support while traveling; access to laboratory results; and use by younger or newly transplanted recipients. Both recipients and HCP preferred linkage to pharmacy; and self-management and accountability.For the app to improve communication, HCPs believed the priorities to be addressed included: clarity on scope of app; legal, ethical, and professional obligations; and charting. Both recipients and HCP prioritized HCP workload, and broader medication and health concerns. Healthcare providers preferred tech support; both recipients and HCPs preferred app access for nontransplant HCP.

Limitations: Limitations include underrepresentation of physicians, recipients with racial/ethnic diversity, and potential selection bias of transplant recipients who perceived themselves to be adhering to immunosuppression medications.

Conclusion: Future research is needed for the app to become a comprehensive, secure platform for broader communication between recipients and HCP, pharmacies, and nontransplant clinicians while streamlining HCP workload.

Contexte: La non-observance du traitement immunosuppresseur pourrait s’avérer le facteur limitant ayant la plus grande incidence sur la survie à long terme de l’allogreffe.

Objectifs: Suivant une conception centrée sur l’utilisateur, nous avons exploré les préférences et les priorités essentielles des receveurs d’une greffe rénale et des fournisseurs de soins de santé (FSS) afin d’orienter le développement d’une application pour téléphones intelligents visant à améliorer les communications et l’observance du traitement immunosuppresseur.

Type d’étude: Un plan de recherche qualitatif et descriptif a été utilisé.

Cadre: Le program de transplantation rénale pour adultes du University of Alberta Hospital à Edmonton (Canada).

Participants: Les participants ont été recrutés par échantillonnage de commodité. L’étude a inclus 32 receveurs d’une greffe rénale et 11 FSS.

Méthodologie: Sept groupes de discussion (5 avec les receveurs, 2 avec les FSS) ont été organisés pour guider le développement de l’application. Les séances ont été enregistrées et les transcriptions ont été codées afin de préciser les thèmes.

Résultats: Le développement d’une application pour améliorer l’observance au traitement n’était pas une priorité pour les FSS. Les receveurs d’une greffe priorisaient d’avoir le choix : ils souhaitaient que toutes les fonctionnalités soient facultatives. Les receveurs d’une greffe avaient une préférence pour une application qui offrirait du soutien lors de leurs déplacements, qui permettrait un accès aux résultats de laboratoire et qui soit utilisée par les nouveaux greffés et les receveurs plus jeunes. Tous les participants préféraient que l’application propose un lien vers la pharmacie et qu’elle favorise l’autogestion et la responsabilisation.Pour que l’application améliore la communication, les FSS étaient d’avis qu’il fallait s’attarder aux priorités suivantes : la clarté de la portée de l’application; les obligations juridiques, éthiques et professionnelles; et la tenue des dossiers. Tant les receveurs d’une greffe que les FSS accordaient une priorité à la charge de travail des professionnels de la santé et aux préoccupations plus générales en matière de santé et de médicaments. Les FSS préféraient une assistance technique; et tous les participants avaient une préférence pour que l’application soit accessible aux FSS ne travaillant pas en transplantation.

Limites: Parmi les limites figurent la sous-représentation des médecins, l’absence de receveurs issus de la diversité raciale/ethnique et un possible biais de sélection des receveurs d’une greffe qui se perçoivent comme adhérant à leur traitement immunosuppresseur.

Conclusion: D’autres recherches sont nécessaires pour que l’application devienne une plateforme complète et sécurisée qui facilite la communication entre les patients, les professionnels de la santé, les pharmacies et les cliniciens ne travaillant pas en transplantation, tout en allégeant la charge de travail des fournisseurs de soins.

Keywords: communication; eHealth; immunosuppression; mobile health; transplantation.