A survey of Ontario horse breeders was conducted in 2016 and retrospectively asked farm-level management questions regarding herd sizes, vaccination, respiratory disease, and abortion over the years 2014 to 2015. A total of 88 farm owners completed the survey, reporting 857 broodmares. Using logistic regression modelling, management influences on vaccine use, and the reporting of respiratory disease or abortion was investigated. Having veterinary records and the reasons for breeding were significantly associated with the odds of an abortion even after controlling for broodmare herd size. The odds of having respiratory illness on the farm were significantly greater if the farm was the primary source of income even after controlling for farm size. Respondents with primary breeding operations were more likely to utilize vaccines against equine herpesvirus 1 (EHV-1), independent of herd size. Veterinarians were more involved with abortions than with respiratory disease, leaving a significant gap in the opportunities for client education.
Enquête sur l’industrie poulinière, l’avortement et l’utilisation du vaccin contre l’herpèsvirus équin-1 en Ontario. Une enquête auprès des éleveurs de chevaux de l’Ontario a été menée en 2016 et a posé des questions de gestion de l’écurie concernant la taille des troupeaux, la vaccination, les maladies respiratoires et l’avortement, rétrospectivement pour les années 2014 et 2015. Au total, 88 propriétaires d’écuries ont répondu à l’enquête avec 857 juments poulinières. Utilisant des modèles de régression logistique, l’influence du style gestionnaire sur l’utilisation des vaccins et la déclaration des maladies respiratoires ou de l’avortement a été étudiée. La probabilité d’avoir un avortement était significativement associée avec l’utilisation des dossiers vétérinaires et la raison de l’élevage. Les probabilités de souffrir de maladies respiratoires au niveau de la ferme étaient significativement plus élevées si l’écurie était la principale source de revenu. Les répondants ayant des établissements principalement d’élevage étaient plus susceptibles d’utiliser des vaccins contre HVE-1. Les vétérinaires étaient plus impliqués lors de cas d’avortements que lors de maladies respiratoires, ratant une belle opportunité pour l’éducation des clients.(Traduit par les auteurs).
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