Objective: To describe the postgraduate medical education (PGME) examination outcomes and work locations of international medical graduates (IMGs); and to identify differences between Canadians studying abroad (CSAs) and non-CSAs.
Design: Cohort study using data from the National IMG Database and Scott's Medical Database.
Setting: Canada.
Participants: All IMGs who had first entered a family medicine residency program between 2005 and 2009, with the exclusion of US graduates, visa trainees, and fellowship trainees.
Main outcome measures: We examined 4 outcomes: passing the Medical Council of Canada Qualifying Examination Part 2 (MCCQE2), obtaining Certification in Family Medicine (CCFP), working in Canada within 2 years of completing PGME training, and working in Canada in 2015.
Results: Of the 876 residents in the study, 96.1% passed the MCCQE2, 78.1% obtained a specialty designation, 37.7% worked in Canada within 2 years after their PGME, and 91.2% worked in Canada in 2015. Older graduates were more likely (odds ratio [OR] = 3.45; 95% CI 1.52 to 7.69) than recent graduates were to pass the MCCQE2, and residents who participated in a skills assessment program before their PGME training were more likely (OR = 9.60; 95% CI 1.29 to 71.63) than those who had not were to pass the MCCQE2. Women were more likely (OR = 1.67; 95% CI 1.20 to 2.33) to obtain a specialty designation than men were. Recent graduates were more likely (OR = 1.36; 95% CI 1.03 to 1.79) than older graduates were to work in Canada following training. Residents who were eligible for a full licence were more likely (OR = 3.72; 95% CI 2.30 to 5.99) to work in Canada in 2015 than those who were not eligible for a full licence were.
Conclusion: While most IMGs who entered the family medicine PGME program passed the MCCQE2, 1 in 5 did not obtain Certification. Most IMG residents remain in Canada. Canadians studying abroad and non-CSA IMGs share similar examination success rates and retention rates.
Objectif: Déterminer les résultats des diplômés internationaux en médecine (DIM) aux examens de deuxième cycle de leurs études médicales (EDCM) ainsi que leurs lieux de travail; et établir les différences entre les Canadiens étudiant à l’étranger (CEE) et les non-CEE.
Type d’étude: Étude de cohorte à l’aide des données de la Base de données nationale sur les DIM et de la base des données médicales Scott’s.
Contexte: Le Canada.
Participants: Tous les DIM qui avaient débuté leur programme de résidence en médecine familiale entre 2005 et 2009, à l’exclusion des diplômés des États-Unis, des stagiaires détenteurs d’un visa et des stagiaires candidats au fellowship.
Principaux paramètres à l’étude: On a tenu compte de 4 paramètres : avoir réussi l’examen d’aptitude du Conseil Médical du Canada, partie 2 (EACMC partie 2), avoir réussi à l’examen de certification en médecine familiale (ECMF), avoir travaillé au Canada dans les 2 années après avoir complété les études médicales de deuxième cycle et avoir travaillé au Canada en 2015.
Résultats: Sur les 876 résidents participant à l’étude, 96,1 % ont réussi à l’EACMC partie 2; 78,1 % ont cherché à obtenir des crédits dans une spécialité; 37,7 % ont pratiqué au Canada dans les 2 années suivant leur ECMF; et 91,2 % ont travaillé au Canada en 2015. Par rapport aux diplômés récents, les plus anciens étaient plus susceptibles d’avoir réussi à l’EACMC partie 2 (rapport de cote [RC] 3,45; IC à 95 % 1,52 à 7,69), et par rapport aux résidents qui n’avaient pas participé à un programme d’évaluation de leurs capacités avant leur formation en vue de l’EDCM, ceux qui y avaient participé étaient plus susceptibles de réussir à l’EACMC partie 2 (RC 9,60; IC à 95 % 1,29 à 71,63). Par rapport aux hommes, les femmes étaient plus susceptibles d’obtenir des crédits en spécialité. Par rapport aux diplômés récents, les plus anciens étaient plus susceptibles de travailler au Canada à la fin de leurs études (RC 1,36; IC à 95 % 1,03 à 1,79). Par rapport aux résidents qui n’avaient pas réussi à obtenir un permis de pratique complet, ceux qui avaient réussi étaient plus susceptibles de travailler au Canada en 2015 (RC 3,72; IC à 95 % 2,30 à 5,99).
Conclusion: La plupart des DIM qui sont entrés dans le programme de médecine familiale en vue l’EDCM ont réussi à l’EACMC partie 2, mais le cinquième d’entre eux n’a pas obtenu la certification. La plupart des résidents DIM demeurent au Canada. Les Canadiens étudiant à l’étranger et ceux qui étudient au Canada ont des taux équivalents de rétention et de succès aux examens.
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