pSETTING: Households in Malawi, Mongolia, Myanmar, the Philippines, Rwanda, Tanzania, Viet Nam and Zambia.OBJECTIVE To assess the relationship between household socio-economic level, both relative and absolute, and individual tuberculosis (TB) disease.
Design: We analysed national TB prevalence surveys from eight countries individually and in pooled multicountry models. Socio-economic level (SEL) was measured in terms of both relative household position and absolute wealth. The outcome of interest was whether or not an individual had TB disease. Logistic regression models were used to control for putative risk factors for TB disease such as age, sex and previous treatment history.
Results: Overall, a strong and consistent association between household SEL and individual TB disease was not found. Significant results were found in four individual country models, with the lowest socio-economic quintile being associated with higher TB risk in Mongolia, Myanmar, Tanzania and Viet Nam.
Conclusions: TB prevalence surveys are designed to assess prevalence of disease and, due to the small numbers of cases usually detected, may not be the most efficient means of investigating TB risk factors. Different designs are needed, including measuring the SEL of individuals in nested case-control studies within TB prevalence surveys or among TB patients seeking treatment in health care facilities.
CONTEXTE :: Des foyers au Malawi, en Mongolie, au Myanmar, aux Philippines, au Rwanda, en Tanzanie, au Viet Nam et en Zambie.
OBJECTIF :: Evaluer la relation entre le niveau socioéconomique des ménages, tant absolu que relatif, et la tuberculose (TB) maladie individuelle.
SCHÉMA :: Nous avons analysé les enquêtes nationales de prévalence de la TB de huit pays, individuellement et dans des modèles multi-pays mis en commun. Le niveau socio-économique a été mesuré en termes de position relative à la fois des ménages et de la richesse absolue. Le résultat souhaité était de savoir si une personne était ou non atteinte de TB. Des modèles de régression logistique ont été utilisés pour contrôler les facteurs de risque putatifs de la maladie tuberculeuse comme l’âge, le sexe et les antécédents de traitement.
RÉSULTATS :: Dans l’ensemble, nous n’avons pas constaté d’association solide et cohérente entre le niveau socio-économique des familles et la maladie tuberculeuse. Des résultats significatifs ont été trouvés dans quatre modèles individuels de pays, le plus bas quintile socio-économique étant associé à un risque de TB plus élevé en Mongolie, au Myanmar, en Tanzanie et au Viet Nam.
CONCLUSION :: Les enquêtes de prévalence de la TB sont conçues pour évaluer la prévalence de la maladie et, en raison du petit nombre de cas habituellement détectés, peuvent ne pas être le moyen le plus efficace d’étudier les facteurs de risque de la TB. Différents modèles sont nécessaires, y compris la mesure du niveau socio-économique des individus dans des études castémoins imbriquées dans les enquêtes de prevalence de la TB ou chez les patients atteints de TB qui sollicitent un traitement dans les établissements de soins de santé.
MARCO DE REFERENCIA:: Los hogares en Malawi, Mongolia, Birmania, Filipinas, Ruanda, Tanzania, Viet Nam y Zambia.
OBJETIVO:: Evaluar la relación entre la situación socioeconómica de los hogares, relativa y absoluta, y los casos individuales de enfermedad tuberculosa.
MÉTODO:: Se analizaron las encuestas nacionales de prevalencia de tuberculosis (TB) de ocho países de manera individual y en modelos combinados multinacionales. Se midió la situación socioeconómica según la posición relativa del hogar y su riqueza absoluta. El criterio de valoración fue la presencia o ausencia de TB en una persona. Se aplicaron modelos de regresión logística, con el fin de ajustar los posibles factores de riesgo enfermedad tuberculosa como la edad, el sexo y los antecedentes de tratamiento.
RESULTADOS:: En general, no se observó una asociación constante y firme entre la situación socioeconómica del hogar y la presencia de TB en una persona. Se encontraron resultados significativos en los modelos de cuatro países, en los cuales se asoció el quintil socioeconómico más bajo con un mayor riesgo de padecer TB en Mongolia, Birmania, Tanzania y Viet Nam.
CONCLUSIÓN:: Las encuestas de prevalencia de TB tienen por finalidad evaluar la prevalencia de la enfermedad y debido al bajo número de casos que se suele detectar, no constituyen el método más eficiente de investigar los factores de riesgo de contraer la TB. Se precisan métodos diferentes que incluyan el nivel socioeconómico de las personas, en estudios de casos y testigos anidados, en el marco de las encuestas de prevalencia o en los pacientes tuberculosos que acuden en busca de tratamiento a los establecimientos de salud.